HIALI - Quand les dieux amérindiens régnaient sur la Martinique
Disponible
Nombre de pages : 54
Dimensions : 170 mm x 250 mm
Poids : 320 gr
Prix : 22.00 €
Format non précisé
EAN : 9782493593207
Distributeur : A & H
Nombre de pages : 54
Dimensions : 170 mm x 250 mm
Poids : 320 gr
Prix : 22.00 €
Format non précisé
EAN : 9782493593207
Distributeur : A & H
Auteur(s) : William VAQUETTE
Editeur(s) : A ET H
Collection : Histoire
Date de parution : 28 avril 2024
Genre(s) : HISTOIRE
Langue(s) du texte : Français
Ce conte nous révèle comment le colibri Hiali délivra les enfants et les femmes de Matinino victimes du maléfique dieu Louko avide de vengeance après sa déchéance provoquée par la défaite des Taïnos.
L’auteur nous emmène avec un humour décalé à la rencontre des premiers habitants Callinagos de la Martinique à l’origine de la nation Caraïbe et de la langue créole dans l’archipel antillais.
Aujourd’hui, le quotidien des Martiniquais est imprégné d’une part importante de la culture amérindienne. Et ce dans un actif syncrétisme avec les apports au fil des siècles des autres peuples européens, africains, indiens, chinois, levantins qui constituent l’identité et le patrimoine universel de la Martinique.
Au-delà des différences et des souffrances, ce qui unit les Martiniquais est l’amour inconditionnel de leur île, dans la joie et la douleur.
C’est pour tout cela que la Martinique est unique... et les mémoires amérindiennes aussi.
L’auteur nous emmène avec un humour décalé à la rencontre des premiers habitants Callinagos de la Martinique à l’origine de la nation Caraïbe et de la langue créole dans l’archipel antillais.
Aujourd’hui, le quotidien des Martiniquais est imprégné d’une part importante de la culture amérindienne. Et ce dans un actif syncrétisme avec les apports au fil des siècles des autres peuples européens, africains, indiens, chinois, levantins qui constituent l’identité et le patrimoine universel de la Martinique.
Au-delà des différences et des souffrances, ce qui unit les Martiniquais est l’amour inconditionnel de leur île, dans la joie et la douleur.
C’est pour tout cela que la Martinique est unique... et les mémoires amérindiennes aussi.