HISTOIRE DU GAULLISME EN B.NORMANDIE - TOME 4 : LE GAULLISME APRÈS DE GAULLE (28/04/69 - 17/11/2002)
Disponible
Nombre de pages : 423
Dimensions : 150 mm x 220 mm
Poids : 636 gr
Prix : 19.00 €
Livre broché
EAN : 9782354580902
Distributeur : EUROCIBLES INTERSERVICES
Nombre de pages : 423
Dimensions : 150 mm x 220 mm
Poids : 636 gr
Prix : 19.00 €
Livre broché
EAN : 9782354580902
Distributeur : EUROCIBLES INTERSERVICES
Auteur(s) : Michel BOIVIN
Editeur(s) : EUROCIBLES
Collection : Etudes & Essais
Date de parution : 23 septembre 2021
Genre(s) : HISTOIRE (3377)
Langue(s) du texte : Français
En Basse-Normandie, l’histoire du gaullisme après de Gaulle est celle du déclin des gaullismes présidentiel et législatif et de l’essor du gaullisme notabiliaire. Le mouvement gaulliste survit à la disparition de son fondateur. D’une part ses adhérents se comptent par milliers. Ils sont même plus nombreux au RPR qu’à l’UNR et à l’UDR. Mais les effectifs du RPF naissant sont loin d’être égalés. D’autre part son audience électorale, instable entre 1969 et 2002, n’atteint plus des niveaux records comme auparavant. La défection d’Olivier Stirn,
dès 1977, est compensée par l’émergence de la génération UJP avec notamment Alain Cousin, François Digard et Yves Deniaud. L’élection des RPR Hubert d’Andigné et Jean-François Le Grand à la tête des conseils généraux de l’Orne et de la Manche attestent un incontestable enracinement local. Toutefois, Jacques Chaban-Delmas et Jacques Chirac sont à la peine aux premiers tours des
élections présidentielles. Georges Pompidou, lui-même, ne retrouve pas les chiffres du général de Gaulle, beaucoup s’en faut.
dès 1977, est compensée par l’émergence de la génération UJP avec notamment Alain Cousin, François Digard et Yves Deniaud. L’élection des RPR Hubert d’Andigné et Jean-François Le Grand à la tête des conseils généraux de l’Orne et de la Manche attestent un incontestable enracinement local. Toutefois, Jacques Chaban-Delmas et Jacques Chirac sont à la peine aux premiers tours des
élections présidentielles. Georges Pompidou, lui-même, ne retrouve pas les chiffres du général de Gaulle, beaucoup s’en faut.