WEST END
Disponible
Nombre de pages : 368
Dimensions : 120 mm x 170 mm
Poids : 250 gr
Prix : 24.00 €
Livre broché
EAN : 9782491287047
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Nombre de pages : 368
Dimensions : 120 mm x 170 mm
Poids : 250 gr
Prix : 24.00 €
Livre broché
EAN : 9782491287047
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Auteur(s) : JOSÉ MORELLA
Editeur(s) : SIGNES BALISES
Collection : Romans etc.
Date de parution : 12 octobre 2022
Genre(s) : LITTÉRATURE GÉNÉRALE (3435)
Langue(s) du texte : Français
Le narrateur enquête sur son grand-père, personnage autour duquel semble planer un lourd secret. De fait, atteint semble-t-il de maladie mentale (mais de laquelle, au juste ?), il a été interné à plusieurs reprises, à l’époque de Franco. Les traitements qu’il y a reçus n’ont permis que de l’abrutir. Parallèlement à cette enquête familiale intervient alors un autre niveau de lecture : l’histoire de la psychiatrie espagnole sous Franco. Une autre enquête en somme, passionnante, qui dénonce des abus (l’enfermement des femmes de Républicains, le commerce de leurs bébés volés etc.) et interroge donc profondément le sens et le rôle de l’institution psychiatrique, et par là-même le statut de ce qu’on appelle ” folie “.
Un autre personnage se dessine au fur et à mesure des pages: “l’île”, où la famille du narrateur, s’est installée dans les années 1960. Et en particulier le quartier West End, quartier de la fête et de la débauche, des jeunes, des riches, des étrangers venus y perdre la tête. Autre histoire de folie?
Diverses strates, divers discours, diverses mémoires de l’histoire du pays, qui confèrent au roman une particulière richesse, accentuée encore par des registres de langues différents pour chaque ” lieu ” du récit. On est emporté, pris par la découverte de ces années sombres décrites de façon si vivante et émouvantes, sans pathos, mais avec une réelle empathie, par l’auteur.
Un autre personnage se dessine au fur et à mesure des pages: “l’île”, où la famille du narrateur, s’est installée dans les années 1960. Et en particulier le quartier West End, quartier de la fête et de la débauche, des jeunes, des riches, des étrangers venus y perdre la tête. Autre histoire de folie?
Diverses strates, divers discours, diverses mémoires de l’histoire du pays, qui confèrent au roman une particulière richesse, accentuée encore par des registres de langues différents pour chaque ” lieu ” du récit. On est emporté, pris par la découverte de ces années sombres décrites de façon si vivante et émouvantes, sans pathos, mais avec une réelle empathie, par l’auteur.