LADY SUSAN
Disponible
Nombre de pages : 176
Dimensions : 250 mm x 350 mm
Poids : 1700 gr
Prix : 180.00 €
Livre relié
EAN : 9791095457763
Distributeur : EDITIONS DES SAINTS PERES
Nombre de pages : 176
Dimensions : 250 mm x 350 mm
Poids : 1700 gr
Prix : 180.00 €
Livre relié
EAN : 9791095457763
Distributeur : EDITIONS DES SAINTS PERES
Auteur(s) : Jane Austen
Editeur(s) : SAINTS PERES
Collection : Manuscrits
Date de parution : 10 novembre 2020
Genre(s) : ARTS ET BEAUX LIVRES
Langue(s) du texte : Anglais
Lady Susan : l’unique manuscrit complet d’un roman de Jane Austen, pour la première fois reproduit dans une version graphiquement restaurée.
À l’âge de 18 ou 19 ans, alors que la jeune fille modèle de l’ère géorgienne ne rêve que fiançailles et mariage, Jane Austen est quant à elle davantage préoccupée par son imagination fertile et son envie d’écrire des romans. Encouragée par sa famille à développer sa passion et ses talents littéraires, elle ne peut toutefois imaginer, à cette époque, qu’elle deviendra la Reine incontournable des lettres anglaises et que son œuvre sera largement adaptée au cinéma et au théâtre.
D’une grande précocité, Jane commence selon toute vraisemblance à travailler à son roman Lady Susan au début des années 1790, alors qu’elle vit dans sa maison d’enfance de Steventon, dans le Hampshire. Ce manuscrit de 158 pages rédigé et numéroté à la main par la romancière daterait toutefois des années 1805, selon les filigranes sur le papier. Le document est dédié à Lady Knatchbull, nièce très proche de Jane Austen qui hérita aussi d’une partie de sa correspondance.
Le roman parut pour la première fois à titre posthume en 1871, lorsque Lady Knatchbull permit à James Edward Austen-Leigh (le neveu de Jane Austen) de le publier dans la seconde édition de Souvenir de Jane Austen. Lady Susan aurait alors été imprimé mais à partir d’un document non conforme, le véritable manuscrit n’ayant refait surface qu’après la mort de Lady Knatchbull en 1882. C’est son fils qui en hérita, avant de le mettre en vente, en 1898. Le manuscrit passa alors entre les mains de différents acheteurs jusqu’au milieu du XXe siècle. Le catalogue de la vente Rosebery de 1933 le présenta comme « LE PLUS BEAU MANUSCRIT EXISTANT DE LA MAIN DE JANE AUSTEN ». En 1947, il fut acheté pour la somme de 6750 dollars par Belle da Costa Green, directeur de la Morgan Library, à New York, où le document est toujours conservé aujourd’hui.
Cette édition a été réalisée en collaboration avec la prestigieuse Morgan Library à New York, permettant désormais aux lecteurs de découvrir les pages jadis écrites par Jane Austen dans une version graphiquement restaurée de l’original.
À l’âge de 18 ou 19 ans, alors que la jeune fille modèle de l’ère géorgienne ne rêve que fiançailles et mariage, Jane Austen est quant à elle davantage préoccupée par son imagination fertile et son envie d’écrire des romans. Encouragée par sa famille à développer sa passion et ses talents littéraires, elle ne peut toutefois imaginer, à cette époque, qu’elle deviendra la Reine incontournable des lettres anglaises et que son œuvre sera largement adaptée au cinéma et au théâtre.
D’une grande précocité, Jane commence selon toute vraisemblance à travailler à son roman Lady Susan au début des années 1790, alors qu’elle vit dans sa maison d’enfance de Steventon, dans le Hampshire. Ce manuscrit de 158 pages rédigé et numéroté à la main par la romancière daterait toutefois des années 1805, selon les filigranes sur le papier. Le document est dédié à Lady Knatchbull, nièce très proche de Jane Austen qui hérita aussi d’une partie de sa correspondance.
Le roman parut pour la première fois à titre posthume en 1871, lorsque Lady Knatchbull permit à James Edward Austen-Leigh (le neveu de Jane Austen) de le publier dans la seconde édition de Souvenir de Jane Austen. Lady Susan aurait alors été imprimé mais à partir d’un document non conforme, le véritable manuscrit n’ayant refait surface qu’après la mort de Lady Knatchbull en 1882. C’est son fils qui en hérita, avant de le mettre en vente, en 1898. Le manuscrit passa alors entre les mains de différents acheteurs jusqu’au milieu du XXe siècle. Le catalogue de la vente Rosebery de 1933 le présenta comme « LE PLUS BEAU MANUSCRIT EXISTANT DE LA MAIN DE JANE AUSTEN ». En 1947, il fut acheté pour la somme de 6750 dollars par Belle da Costa Green, directeur de la Morgan Library, à New York, où le document est toujours conservé aujourd’hui.
Cette édition a été réalisée en collaboration avec la prestigieuse Morgan Library à New York, permettant désormais aux lecteurs de découvrir les pages jadis écrites par Jane Austen dans une version graphiquement restaurée de l’original.