LES SEIGNEURS DE DUR-ECU
Disponible
Nombre de pages : 192
Dimensions : 215 mm x 305 mm
Poids : 1150 gr
Prix : 25.00 €
Livre relié
EAN : 9782840485179
Distributeur : HEIMDAL
Nombre de pages : 192
Dimensions : 215 mm x 305 mm
Poids : 1150 gr
Prix : 25.00 €
Livre relié
EAN : 9782840485179
Distributeur : HEIMDAL
Auteur(s) : EDMOND THIN
Editeur(s) : HEIMDAL
Date de parution : 23 août 2018
Genre(s) :
Langue(s) du texte : Français
Quelques jours avant Noël, le 21 décembre 1793, Jean Antoine de Beauvalet, seigneur de Durécu, est trouvé mort à Valognes, dans une chambre où il s’est réfugié, après avoir été enfermé par les Révolutionnaires dans les geôles du fort de la Hougue. Ainsi s’éteint le dernier représentant mâle de la branche noble des Beauvalet, fondateurs, en 1686, du petit domaine de Durécu qui ne portait pas encore ce nom, anoblis en 1702 par Louis XIV et ayant lutté pendant trois générations, en s’appuyant sur leur richesse, pour conserver cette noblesse chèrement acquise.
Le domaine de Durécu échoit alors à la petite-fille du seigneur de Durécu, Caroline Avice de Sortosville, qui épouse pendant la Terreur, un jeune officier républicain, François Clément Boyer de Choisy, issu d’une famille parfaitement représentative de la noblesse d’épée, car elle s’était constamment consacrée au service des armes.
Les Boyer de Choisy fortifient les îles Saint-Marcouf puis embellissent leur domaine mais s’investissent également dans la vie publique, le premier comme maire de Saint-Vaast, sous l’Empire et la Restauration, et le second, son neveu à qui échoit Durécu, comme maire sous le Second Empire.
Enfin, en 1918, Augustin Vallette, entrepreneur issu d’une très ancienne famille saint-vaastaise de négociants et armateurs, acquiert cette belle propriété.
Edmond Thin, après trois ans de recherches dans les archives nationales, civiles et militaires, départementales (50, 57, 76), municipales et familiales, évoque ici, à partir de l’histoire totalement inédite du domaine de Durécu, une véritable saga se déroulant sur plus de quatre siècles, celle de trois familles, gentilshommes campagnards ou simples citoyens, sans oublier leurs épouses, femmes souvent remarquables et également très impliquées dans la vie sociale de leur temps.
Le domaine de Durécu échoit alors à la petite-fille du seigneur de Durécu, Caroline Avice de Sortosville, qui épouse pendant la Terreur, un jeune officier républicain, François Clément Boyer de Choisy, issu d’une famille parfaitement représentative de la noblesse d’épée, car elle s’était constamment consacrée au service des armes.
Les Boyer de Choisy fortifient les îles Saint-Marcouf puis embellissent leur domaine mais s’investissent également dans la vie publique, le premier comme maire de Saint-Vaast, sous l’Empire et la Restauration, et le second, son neveu à qui échoit Durécu, comme maire sous le Second Empire.
Enfin, en 1918, Augustin Vallette, entrepreneur issu d’une très ancienne famille saint-vaastaise de négociants et armateurs, acquiert cette belle propriété.
Edmond Thin, après trois ans de recherches dans les archives nationales, civiles et militaires, départementales (50, 57, 76), municipales et familiales, évoque ici, à partir de l’histoire totalement inédite du domaine de Durécu, une véritable saga se déroulant sur plus de quatre siècles, celle de trois familles, gentilshommes campagnards ou simples citoyens, sans oublier leurs épouses, femmes souvent remarquables et également très impliquées dans la vie sociale de leur temps.