L’ÉCRITURE ET LA PROJECTION
Disponible
Nombre de pages : 160
Dimensions : 151 mm x 201 mm
Poids : 262 gr
Prix : 19.00 €
Livre broché
EAN : 9782918193739
Distributeur : BELLES LETTRES - BLDD S.A.S.
Nombre de pages : 160
Dimensions : 151 mm x 201 mm
Poids : 262 gr
Prix : 19.00 €
Livre broché
EAN : 9782918193739
Distributeur : BELLES LETTRES - BLDD S.A.S.
Auteur(s) : Marie Martin
Editeur(s) : DE L INCIDENCE
Date de parution : 10 mai 2024
Genre(s) : LITTÉRATURE GÉNÉRALE
Langue(s) du texte : Français
Cet essai théorique prend pour sujet les relations entre littérature française contemporaine et cinéma à partir de la notion de projection.
Puissance intermédiatique entre le texte et l’image, la projection ouvre un espace contemporain d’écriture entre cinéma et littérature. Cet essai tente d’en circonscrire l’empan et d’en théoriser les pratiques, des reconfigurations du roman au prisme d’un imaginaire filmique chez des Forêts ou Montalbetti, aux écrivains-cinéastes comme Carrère ou Alferi, en passant par le renouvellement des formes canoniques de l’adaptation ou de l’ekphrasis, chez Claire Denis, Léos Carax, Jérôme Game ou Nathalie Léger, lorsque l’écriture - syntaxe, métaphores, lumières et ombres - retrace la hantise des figures de l’écran. Réécriture, descriptions, intervalles, écrans, flipbooks, projections psychiques, les intermédiaires se démultiplient entre le texte et ses images, délaissant la problématique trop simple de l’adaptation.
Puissance intermédiatique entre le texte et l’image, la projection ouvre un espace contemporain d’écriture entre cinéma et littérature. Cet essai tente d’en circonscrire l’empan et d’en théoriser les pratiques, des reconfigurations du roman au prisme d’un imaginaire filmique chez des Forêts ou Montalbetti, aux écrivains-cinéastes comme Carrère ou Alferi, en passant par le renouvellement des formes canoniques de l’adaptation ou de l’ekphrasis, chez Claire Denis, Léos Carax, Jérôme Game ou Nathalie Léger, lorsque l’écriture - syntaxe, métaphores, lumières et ombres - retrace la hantise des figures de l’écran. Réécriture, descriptions, intervalles, écrans, flipbooks, projections psychiques, les intermédiaires se démultiplient entre le texte et ses images, délaissant la problématique trop simple de l’adaptation.