CINÉROMAN - Ville éternelle, regards croisés
Disponible
Nombre de pages : 260
Dimensions : 150 mm x 200 mm
Poids : 300 gr
Prix : 24.00 €
Livre broché
EAN : 9782491287108
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Nombre de pages : 260
Dimensions : 150 mm x 200 mm
Poids : 300 gr
Prix : 24.00 €
Livre broché
EAN : 9782491287108
Distributeur : AMALIA DISTRIBUTION
Auteur(s) : Ciocârlie, Corina
Editeur(s) : SIGNES BALISES
Date de parution : 26 juin 2024
Genre(s) : LITTÉRATURE GÉNÉRALE
Langue(s) du texte : Français
De Madame de Staël à Michel Butor, en passant par James et Hawthorne, Zola et Gogol, Moravia et Gadda, Patrick Modiano ou Thomas Bernhard, tous les chemins romanesques mènent à Rome. Avec Rossellini, Woody Allen, Fellini, William Wyler, Pasolini, Marguerite Duras ou Paolo Sorrentino…, toutes les caméras, ou presque, tournent autour du Colisée et de la piazza Navona.
Le jeu de piste que voici emboîte le pas de personnages qui, pour une raison ou une autre – flânerie ou voyage d’affaires, mission diplomatique ou relation extraconjugale – ont fait de la Cité éternelle leur point de chute, leur fief ou leur tombeau.
CinéROMAn invite à parcourir la via dei Fori Imperiali, à suivre les méandres du Tibre, à arpenter les sept collines en revisitant les scènes-cultes qui leur ont été consacrées. Au fil des pages et des images, on se laisse happer par la toile d’araignée tissée par une kyrielle de voyageurs dont les visions et les péripéties se répondent, de sorte que les paparazzi de Fellini et les ragazzi de Pasolini finissent par donner la réplique au Manfred de Lord Byron et à la Corinne de Madame de Staël.
Le jeu de piste que voici emboîte le pas de personnages qui, pour une raison ou une autre – flânerie ou voyage d’affaires, mission diplomatique ou relation extraconjugale – ont fait de la Cité éternelle leur point de chute, leur fief ou leur tombeau.
CinéROMAn invite à parcourir la via dei Fori Imperiali, à suivre les méandres du Tibre, à arpenter les sept collines en revisitant les scènes-cultes qui leur ont été consacrées. Au fil des pages et des images, on se laisse happer par la toile d’araignée tissée par une kyrielle de voyageurs dont les visions et les péripéties se répondent, de sorte que les paparazzi de Fellini et les ragazzi de Pasolini finissent par donner la réplique au Manfred de Lord Byron et à la Corinne de Madame de Staël.