1914/1918 ARTISANAT ET SOUVENIRS DE TRANCHÉES
Disponible
Nombre de pages : 96
Dimensions : 200 mm x 265 mm
Poids : 500 gr
Prix : 18.00 €
Livre broché
EAN : 9782815102575
Distributeur : OREP
Nombre de pages : 96
Dimensions : 200 mm x 265 mm
Poids : 500 gr
Prix : 18.00 €
Livre broché
EAN : 9782815102575
Distributeur : OREP
Auteur(s) : BARRABE Marc-Henri
Editeur(s) : OREP
Date de parution : 20 octobre 2015
Genre(s) : HISTOIRE (3377)
Langue(s) du texte : Français
Cet ouvrage retrace la vie quotidienne des combattants de la Grande
Guerre et invite le lecteur à un voyage initiatique en compagnie des
poilus mais aussi de leurs créations utilitaires et artistiques, influencées
par les techniques nouvelles, par l’art nouveau et le cubisme.
En août 1914, les combats sont terriblement meurtriers et les survivants
s’enterrent pour rester invisible. Très vite, les soldats des premières
lignes se groupent et forment un ilot social dans leur propre escouade
pour tenir physiquement et moralement dans les tranchées
nouvellement aménagées. Avec l’hiver qui arrive, ils se soudent et
partagent leurs expériences professionnelles pour se protéger et
améliorer leurs conditions de vie particulièrement précaires.
Les soldats se côtoient dans des lieux particulièrement déprimants où
ils trouvent l’ennui et parfois la mort. Ces situations les amènent à
fabriquer de nombreux objets utilitaires et très décoratifs : pour leur
épouse, la marraine de guerre, la fiancée, etc. Les poilus réalisent des
oeuvres sur différents supports, y inscrivent des lieux de combats, des
mots d’amour, des prénoms féminins. D’autres constituent un carnet
photographique, de croquis, un journal de tranchée, ou un futur livre.
Les témoins de cette période ont tous disparu mais l’artisanat de
tranchée, véritable art populaire, est un témoignage matériel visuel et
tactile. Ces objets, quelquefois d’origine familiale, en lien avec un
portrait militaire photographique ou des médailles, sont de véritables
messagers de l’histoire. Ils interrogent lors de leurs découvertes et
nous font réfléchir sur le vécu des combattants de la Grande Guerre.
L’artisanat de tranchée utilitaire, artistique et qui est multiforme, doit
être transmis, sauvegardé et protégé.
Guerre et invite le lecteur à un voyage initiatique en compagnie des
poilus mais aussi de leurs créations utilitaires et artistiques, influencées
par les techniques nouvelles, par l’art nouveau et le cubisme.
En août 1914, les combats sont terriblement meurtriers et les survivants
s’enterrent pour rester invisible. Très vite, les soldats des premières
lignes se groupent et forment un ilot social dans leur propre escouade
pour tenir physiquement et moralement dans les tranchées
nouvellement aménagées. Avec l’hiver qui arrive, ils se soudent et
partagent leurs expériences professionnelles pour se protéger et
améliorer leurs conditions de vie particulièrement précaires.
Les soldats se côtoient dans des lieux particulièrement déprimants où
ils trouvent l’ennui et parfois la mort. Ces situations les amènent à
fabriquer de nombreux objets utilitaires et très décoratifs : pour leur
épouse, la marraine de guerre, la fiancée, etc. Les poilus réalisent des
oeuvres sur différents supports, y inscrivent des lieux de combats, des
mots d’amour, des prénoms féminins. D’autres constituent un carnet
photographique, de croquis, un journal de tranchée, ou un futur livre.
Les témoins de cette période ont tous disparu mais l’artisanat de
tranchée, véritable art populaire, est un témoignage matériel visuel et
tactile. Ces objets, quelquefois d’origine familiale, en lien avec un
portrait militaire photographique ou des médailles, sont de véritables
messagers de l’histoire. Ils interrogent lors de leurs découvertes et
nous font réfléchir sur le vécu des combattants de la Grande Guerre.
L’artisanat de tranchée utilitaire, artistique et qui est multiforme, doit
être transmis, sauvegardé et protégé.