TROUBLE
Disponible
Nombre de pages : 311
Dimensions : 130 mm x 190 mm
Poids : 345 gr
Prix : 19.00 €
Livre broché
EAN : 9782370470362
Distributeur : PLM DIFFUSION
Nombre de pages : 311
Dimensions : 130 mm x 190 mm
Poids : 345 gr
Prix : 19.00 €
Livre broché
EAN : 9782370470362
Distributeur : PLM DIFFUSION
Auteur(s) : stéphanie de mecquenem
Editeur(s) : LAJOUANIE
Date de parution : 24 février 2017
Genre(s) : LITTÉRATURE GÉNÉRALE
Langue(s) du texte : Français
Tiphaine Dumont, française établie au Québec et fraîchement nommée coroner est chargée d’une enquête sur une série de suicides touchant des étudiantes victimes de cyber-harcèlement. Deux hommes l’assistent dans cette tâche apparemment banale : un sémillant procureur qui ne la laisse pas indifférente et Sir James Jeffrey, un retraité anglais à l’humour terriblement british. Cet improbable et cosmopolite trio ne va pas tarder à découvrir qu’un meurtrier profite très intelligemment de la vague de dépression qui agite le campus de l’université de Montréal…
L’auteur s’est inspiré d’un fléau frappant la jeunesse occidentale : le harcèlement par Internet. De ses terribles conséquences : vague de suicide, épidémie de dépression, abandon d’études en série, Stéphanie de Mecquenem a tiré un roman à suspense trépidant. La psychologie des personnages, héros, victimes ou seconds rôles est savamment travaillée et l’on passe sans cesse mais avec délectation de l’ambiance angoissante d’une fac bien mortifère à l’atmosphère rassurante d’une demeure, l’antre de Sir Jeffrey, qu’Agatha Christie aurait sans aucun doute appréciée.
L’auteur s’est inspiré d’un fléau frappant la jeunesse occidentale : le harcèlement par Internet. De ses terribles conséquences : vague de suicide, épidémie de dépression, abandon d’études en série, Stéphanie de Mecquenem a tiré un roman à suspense trépidant. La psychologie des personnages, héros, victimes ou seconds rôles est savamment travaillée et l’on passe sans cesse mais avec délectation de l’ambiance angoissante d’une fac bien mortifère à l’atmosphère rassurante d’une demeure, l’antre de Sir Jeffrey, qu’Agatha Christie aurait sans aucun doute appréciée.