LE MUR DE L'ATLANTIQUE - NORMANDIE 1944 (FR)
Disponible
Nombre de pages : 32
Dimensions : 17 mm x 24 mm
Poids : 137 gr
Prix : 6.70 €
Livre broché
EAN : 9782815108478
Distributeur : OREP
Nombre de pages : 32
Dimensions : 17 mm x 24 mm
Poids : 137 gr
Prix : 6.70 €
Livre broché
EAN : 9782815108478
Distributeur : OREP
Auteur(s) : DESQUESNES Rémy
Editeur(s) : OREP
Date de parution : 20 mars 2024
Genre(s) : HISTOIRE (3377)
Langue(s) du texte : Français
En pénétrant en Union soviétique, en juin 1941, Hitler était persuadé que la campagne militaire dans les steppes russes serait achevée
pour Noël de la même année. Grossière erreur de calcul, l’Armée Rouge qu’à Berlin on croyait sur le point de capituler, reprenait l’offensive
dans le secteur de Moscou, en décembre 1941 et contraignait la Wehrmacht à reculer. Au même moment, à la suite de l’attaque japonaise sur Pearl Harbour, les États-Unis entraient dans la guerre et venaient renforcer la Grande Bretagne. Pris au piège de la guerre sur deux fronts, Hitler décidait d’en finir avec l’Union soviétique avant de se retourner contre les alliés anglo-saxons. Selon le dictateur allemand, une opération de débarquement sur une grande échelle n’était pas à craindre dans l’immédiat. Toutefois, pour protéger ses arrières tant que l’essentiel de son armée était concentré sur le front russe, il prenait la décision de construire une ligne de fortifications sur le littoral de l’Europe de l’Ouest. La construction de cette nouvelle muraille de Chine était confiée à l’Organisation Todt, l’agence chargée d’exécuter les projets de construction de la Wehrmacht, avec une main d’œuvre raflée dans toute l’Europe. Au printemps de 1944, l’Atlantikwall (mur de l’Atlantique) était encore loin d’être achevé : seuls les grands ports avaient été puissamment fortifiés. En débarquant entre les ports de Cherbourg et du Havre sur la côte normande, littoral médiocrement fortifié, les Alliés devaient contourner le système défensif mis en place par le Reich. Le présent ouvrage est
conçu comme un guide décrivant les vestiges les plus intéressants de la fortification allemande, sur la côte normande ( batteries d’artillerie
côtière, postes de commandement, stations radar, ouvrages souterrains …).
pour Noël de la même année. Grossière erreur de calcul, l’Armée Rouge qu’à Berlin on croyait sur le point de capituler, reprenait l’offensive
dans le secteur de Moscou, en décembre 1941 et contraignait la Wehrmacht à reculer. Au même moment, à la suite de l’attaque japonaise sur Pearl Harbour, les États-Unis entraient dans la guerre et venaient renforcer la Grande Bretagne. Pris au piège de la guerre sur deux fronts, Hitler décidait d’en finir avec l’Union soviétique avant de se retourner contre les alliés anglo-saxons. Selon le dictateur allemand, une opération de débarquement sur une grande échelle n’était pas à craindre dans l’immédiat. Toutefois, pour protéger ses arrières tant que l’essentiel de son armée était concentré sur le front russe, il prenait la décision de construire une ligne de fortifications sur le littoral de l’Europe de l’Ouest. La construction de cette nouvelle muraille de Chine était confiée à l’Organisation Todt, l’agence chargée d’exécuter les projets de construction de la Wehrmacht, avec une main d’œuvre raflée dans toute l’Europe. Au printemps de 1944, l’Atlantikwall (mur de l’Atlantique) était encore loin d’être achevé : seuls les grands ports avaient été puissamment fortifiés. En débarquant entre les ports de Cherbourg et du Havre sur la côte normande, littoral médiocrement fortifié, les Alliés devaient contourner le système défensif mis en place par le Reich. Le présent ouvrage est
conçu comme un guide décrivant les vestiges les plus intéressants de la fortification allemande, sur la côte normande ( batteries d’artillerie
côtière, postes de commandement, stations radar, ouvrages souterrains …).