LE PRINCE CHARLES-FRANÇOIS LEBRUN
Disponible
Nombre de pages : 183
Dimensions : 150 mm x 220 mm
Poids : 397 gr
Prix : 23.00 €
Livre relié
EAN : 9782914541701
Distributeur : EUROCIBLES INTERSERVICES
Nombre de pages : 183
Dimensions : 150 mm x 220 mm
Poids : 397 gr
Prix : 23.00 €
Livre relié
EAN : 9782914541701
Distributeur : EUROCIBLES INTERSERVICES
Auteur(s) : Robert SINSOILLIEZ
Editeur(s) : EUROCIBLES
Collection : I&I
Date de parution : 15 juin 2007
Genre(s) :
Langue(s) du texte : Français
Rien ne prédisposait Charles Lebrun, né dans un modeste hameau en lisière de Saint-Sauveur-Lendelin près de Coutances (Manche), à parvenir au sommet du pouvoir.
A plusieurs époques de son existence, sans l’avoir cherché, il rencontra un personnage providentiel : le chancelier Maupeou, Napoléon, Louis XVIII… Tous sentirent sa probité, son amour du travail, son sens de l’Etat.
Nommé troisième Consul avec Cambacérès et Bonaparte, il réussit de grandes choses : spécialiste incontesté des finances, il sut redresser la France sous le Consulat après la période noire du Directoire exécutif.
Il est ainsi aux origines de la Cour des Comptes dont nous commémorons cette année le bi-centenaire de la création.
Et il garda toujours son franc-parler. Son opposition mesurée provoqua des scènes violentes avec Bonaparte qui le traitait de ganache. Impassible, Lebrun répliquait tranquillement.
Devenu empereur, Napoléon lui confia de multiples missions, le fit architrésorier de l’Empire, prince… Fidèle, Lebrun refusa plus tard de voter sa déchéance malgré toute l’instance de Talleyrand.
Sa vie avait failli se terminer lors de la Révolution. Emprisonné à plusieurs reprises, il fut inscrit sur la liste des gens à guillotiner, mais le destin veillait...
A plusieurs époques de son existence, sans l’avoir cherché, il rencontra un personnage providentiel : le chancelier Maupeou, Napoléon, Louis XVIII… Tous sentirent sa probité, son amour du travail, son sens de l’Etat.
Nommé troisième Consul avec Cambacérès et Bonaparte, il réussit de grandes choses : spécialiste incontesté des finances, il sut redresser la France sous le Consulat après la période noire du Directoire exécutif.
Il est ainsi aux origines de la Cour des Comptes dont nous commémorons cette année le bi-centenaire de la création.
Et il garda toujours son franc-parler. Son opposition mesurée provoqua des scènes violentes avec Bonaparte qui le traitait de ganache. Impassible, Lebrun répliquait tranquillement.
Devenu empereur, Napoléon lui confia de multiples missions, le fit architrésorier de l’Empire, prince… Fidèle, Lebrun refusa plus tard de voter sa déchéance malgré toute l’instance de Talleyrand.
Sa vie avait failli se terminer lors de la Révolution. Emprisonné à plusieurs reprises, il fut inscrit sur la liste des gens à guillotiner, mais le destin veillait...