C'EST MOI QUI ÉTEINS LES LUMIÈRES
Disponible
Nombre de pages : 288
Dimensions : 117 mm x 180 mm
Poids : 213 gr
Prix : 10.95 €
Poche
EAN : 9782843046421
Distributeur : SODIS
Nombre de pages : 288
Dimensions : 117 mm x 180 mm
Poids : 213 gr
Prix : 10.95 €
Poche
EAN : 9782843046421
Distributeur : SODIS
Auteur(s) : Zoya Pirzad
Editeur(s) : ZULMA
Collection : LITTERATURE Z/A
Date de parution : 2 mai 2013
Genre(s) : LITTÉRATURE GÉNÉRALE
Langue(s) du texte : Français
Clarisse est d'une simplicité de cœur qui la rend spontanément attachante. Autour de cette héroïne malgré elle gravite tout un petit monde : un mari ingénieur, deux adorables et malicieuses jumelles, Armen, le fils vénéré en pleine crise d'adolescence, une sœur à marier un peu revêche, et la vieille mère qui règne sur la maisonnée, dans le quartier arménien d'Abadan.
Pourtant la très modeste Clarisse va bientôt révéler sa nature de personnage tchekhovien quand de nouveaux voisins viennent bouleverser l'équilibre affectif de notre femme invisible...
Immense succès en Iran, le premier livre d'une romancière adulée de ses lecteurs.
Romancière, traductrice, Zoyâ Pirzâd, née à Abadan d'un père iranien d'origine russe et d'une mère arménienne, fait partie de ces auteurs iraniens majeurs qui ouvrent sur le monde l'écriture persane sans rien céder de leur singularité. C'est moi qui éteins les lumières, immense succès en Iran, salué par de nombreux prix, dresse avec justesse et drôlerie le portrait d'une société patriarcale scellée par les usages et traditions des femmes.
Pourtant la très modeste Clarisse va bientôt révéler sa nature de personnage tchekhovien quand de nouveaux voisins viennent bouleverser l'équilibre affectif de notre femme invisible...
Immense succès en Iran, le premier livre d'une romancière adulée de ses lecteurs.
Romancière, traductrice, Zoyâ Pirzâd, née à Abadan d'un père iranien d'origine russe et d'une mère arménienne, fait partie de ces auteurs iraniens majeurs qui ouvrent sur le monde l'écriture persane sans rien céder de leur singularité. C'est moi qui éteins les lumières, immense succès en Iran, salué par de nombreux prix, dresse avec justesse et drôlerie le portrait d'une société patriarcale scellée par les usages et traditions des femmes.