PARIS - GRANVILLE, 150 ANS D'HISTOIRE
Disponible
Nombre de pages : 256
Dimensions : 150 mm x 220 mm
Poids : 407 gr
Prix : 23.00 €
Livre relié
EAN : 9782914541350
Distributeur : EUROCIBLES INTERSERVICES
Nombre de pages : 256
Dimensions : 150 mm x 220 mm
Poids : 407 gr
Prix : 23.00 €
Livre relié
EAN : 9782914541350
Distributeur : EUROCIBLES INTERSERVICES
Auteur(s) : Jean-Marie VANNIER
Editeur(s) : EUROCIBLES
Collection : I&I
Date de parution : 15 avril 2005
Genre(s) :
Langue(s) du texte : Français
Dès 1844, les villes situées sur l’axe Dreux-Granville se mobilisent pendant des années, en faisant des pétitions à Napoléon III, ou en se déplaçant à Paris dans les ministères, pour obtenir que ce nouveau moyen de transport rapide traverse leur région.
Les travaux commencés en 1860 vont durer 10 ans, pour s’achever le 3 juillet 1870 à Granville. Quand on pense aux moyens rudimentaires utilisés à l’époque, ce chantier est finalement rondement mené. Le train c’est l’entrée dans la modernité, la révolution industrielle, l’ouverture au marché national, mais aussi l’exode rural massif de la Basse-Normandie vers Paris et les grandes villes. Depuis 134 ans, la ligne n’a jamais cessé d’être exploitée, malgré les vicissitudes de performance et de rentabilité. Un pari toujours aussi difficile à tenir en ce début de XXI ème siècle, c’est toute l’histoire de cette très belle ligne que raconte Jean-Marie VANNIER.
Les travaux commencés en 1860 vont durer 10 ans, pour s’achever le 3 juillet 1870 à Granville. Quand on pense aux moyens rudimentaires utilisés à l’époque, ce chantier est finalement rondement mené. Le train c’est l’entrée dans la modernité, la révolution industrielle, l’ouverture au marché national, mais aussi l’exode rural massif de la Basse-Normandie vers Paris et les grandes villes. Depuis 134 ans, la ligne n’a jamais cessé d’être exploitée, malgré les vicissitudes de performance et de rentabilité. Un pari toujours aussi difficile à tenir en ce début de XXI ème siècle, c’est toute l’histoire de cette très belle ligne que raconte Jean-Marie VANNIER.