GRANVILLE, CORSÉE, CORSAIRE, CHAVIRANTE
Disponible
Nombre de pages : 144
Poids : 700 gr
Prix : 10.00 €
Livre broché
EAN : 9782815103114
Distributeur : OREP
Nombre de pages : 144
Poids : 700 gr
Prix : 10.00 €
Livre broché
EAN : 9782815103114
Distributeur : OREP
Auteur(s) : DESFOUX Jean-Yves
Editeur(s) : OREP
Date de parution : 6 juillet 2016
Genre(s) : GÉOGRAPHIE (3395)
Langue(s) du texte : Français
C’est un port de la Manche qui en a sous le coude, un bout du monde, un terminus des beaux étés, le roc où l’on décroche et qui
plonge son mufl e dans le grand bleu. Qui vous retape un harassé en deux coups de cuillère à pot, où les visages pâles retrouvent
des couleurs et les cabossés réapprennent le joli métier de vivre. On y cicatrise de tout un tas de choses. Le sel, sans doute.
C’est un port d’attache attachant. Une ville rigolote, intrigante, carnavalière, sans doute la plus anglo-normande de toutes, cousine
germaine de Jersey, soeur de lait de Guernesey, terrain de jeu subtil des lumières et des ombres, des feux du carnaval et des
étincelles des postes à souder, des bateaux et des bulots, des jardins diorissimes d’élégance, des bichettes frétillantes de
bouquets. Granville, notre histoire d’amures, principauté souveraine qui s’aime comme telle, humble reine d’elle-même où
Chausey, paradis du large et de proximité, royaume des métamorphoses, festival de lumières insensées, constitue un faubourg
distant d’une heure de bateau de la maison mère (mer ?), à hauteur d’enfance et d’horizon.
Vous embarquez ? Bienvenue à bord.
plonge son mufl e dans le grand bleu. Qui vous retape un harassé en deux coups de cuillère à pot, où les visages pâles retrouvent
des couleurs et les cabossés réapprennent le joli métier de vivre. On y cicatrise de tout un tas de choses. Le sel, sans doute.
C’est un port d’attache attachant. Une ville rigolote, intrigante, carnavalière, sans doute la plus anglo-normande de toutes, cousine
germaine de Jersey, soeur de lait de Guernesey, terrain de jeu subtil des lumières et des ombres, des feux du carnaval et des
étincelles des postes à souder, des bateaux et des bulots, des jardins diorissimes d’élégance, des bichettes frétillantes de
bouquets. Granville, notre histoire d’amures, principauté souveraine qui s’aime comme telle, humble reine d’elle-même où
Chausey, paradis du large et de proximité, royaume des métamorphoses, festival de lumières insensées, constitue un faubourg
distant d’une heure de bateau de la maison mère (mer ?), à hauteur d’enfance et d’horizon.
Vous embarquez ? Bienvenue à bord.