LUCIE D'HONFLEUR - (Demoiselle 4 arts)
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Nombre de pages : 310
Dimensions : 120 mm x 190 mm
Poids : 287 gr
Prix : 18.00 €
Poche
EAN : 9782312074436
Distributeur : DU NET
Nombre de pages : 310
Dimensions : 120 mm x 190 mm
Poids : 287 gr
Prix : 18.00 €
Poche
EAN : 9782312074436
Distributeur : DU NET
Auteur(s) : Nicole Badouard
Editeur(s) : DU NET
Date de parution : 3 juillet 2020
Genre(s) : LITTÉRATURE GÉNÉRALE
Langue(s) du texte : Français
Aux côtés de Gustave que tout le monde à Honfleur connaît sous le nom de « Queue d’vaque », grandit Lucie Delarue Mardrus. Née bourgeoise, elle se plaît à suivre le garçon sur les quais de Honfleur, sur les bords de l’estuaire et dans cette campagne merveilleuse, terreau de son âme de poète.
Si le jeune garçon tombe évidemment amoureux de cette fille singulière et si belle, Lucie comprend assez vite qu’elle est différente. Pourtant, rien ne brisera ce pur amour tant il est d’ordre fraternel, donc indestructible.
Il est des gens que tout prédestine à l’oubli comme Gustave par exemple qui n’a ni talent particulier, ni l’unicité qui fait la différence ; même s’il a la chance de côtoyer Alphonse Allais ou Erik Satie.
Il en est d’autres, au parcours atypique, aux failles et aux fragilités dignes des vrais génies mais qu’on s’empresse d’oublier parce qu’ils dérangent par leur talent, leur beauté, leur dissemblance.
Cela est bien une évidence pour celle qui a épousé le traducteur « Des mille et une nuits ».
Si de nos jours on retrouve des Gustave Honfleurais parce qu’ils ont chevillé au cœur la simplicité de l’ordinaire, il ne se fera plus de Lucie Delarue Mardrus, créature invisible aux yeux des humains du XIXe siècle mais que l’on redécouvre enfin, comme sortie de l’univers d’Aladdin.
Si le jeune garçon tombe évidemment amoureux de cette fille singulière et si belle, Lucie comprend assez vite qu’elle est différente. Pourtant, rien ne brisera ce pur amour tant il est d’ordre fraternel, donc indestructible.
Il est des gens que tout prédestine à l’oubli comme Gustave par exemple qui n’a ni talent particulier, ni l’unicité qui fait la différence ; même s’il a la chance de côtoyer Alphonse Allais ou Erik Satie.
Il en est d’autres, au parcours atypique, aux failles et aux fragilités dignes des vrais génies mais qu’on s’empresse d’oublier parce qu’ils dérangent par leur talent, leur beauté, leur dissemblance.
Cela est bien une évidence pour celle qui a épousé le traducteur « Des mille et une nuits ».
Si de nos jours on retrouve des Gustave Honfleurais parce qu’ils ont chevillé au cœur la simplicité de l’ordinaire, il ne se fera plus de Lucie Delarue Mardrus, créature invisible aux yeux des humains du XIXe siècle mais que l’on redécouvre enfin, comme sortie de l’univers d’Aladdin.