L'ANGE DE MISS GARNET
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Nombre de pages : 346
Dimensions : 140 mm x 225 mm
Poids : 463 gr
Prix : 22.90 €
Autre format de livre
EAN : 9782709623773
Distributeur : HACHETTE LIVRE
Nombre de pages : 346
Dimensions : 140 mm x 225 mm
Poids : 463 gr
Prix : 22.90 €
Autre format de livre
EAN : 9782709623773
Distributeur : HACHETTE LIVRE
Auteur(s) : Salley Vickers
Editeur(s) : LATTES
Collection : Litt. étrangère
Date de parution : 13 octobre 2004
Genre(s) : LITTÉRATURE GÉNÉRALE
Langue(s) du texte : Français
«Un livre qui se révèle une étonnante exploration des mystères de l’imagination et de la foi. »
Joanna Tollope
A la mort de sa vieille amie et colocataire, un professeur d’histoire à la retraite, Julia Garnet, décide d’aller passer six mois à Venise. Dès son arrivée, la ville l’envoûte, faisant voler en éclats la carapace de cette communiste austère et repliée sur elle-même. Son rejet de la religion perd de sa virulence, si bien qu’elle fréquente les églises, découvrant dans l’une de celles-ci des peintures représentant l’histoire du livre apocryphe de Tobie. En même temps, Julia entreprend un voyage intérieur qui va la métamorphoser. Elle tombe amoureuse, pour la première fois de sa vie, de Carlo, un marchand d’art, se lie d’amitié avec Sarah et Tobie, des jumeaux travaillant à la restauration d’une chapelle du XIVème, ainsi qu’avec Monsignore un personnage haut en couleurs qui va l’aider à comprendre des aspects de la vie dont elle n’avait jamais pris conscience. Mais ses personnages vont, tout en la dévoilant à elle-même, se révéler bien différents de ce qu’ils paraissent.
Dans ce roman intelligent, au ton volontairement léger, au style dépouillé, l’auteur fait le récit d’un parcours presque initiatique. Son attachante héroïne se débarrasse de ses préjugés au soir de sa vie, s’ouvre peu à peu aux plaisirs, aux autres, ainsi qu’à l’ineffable déroute.
Traduit de l'anglais par Sylvie Schneiter
A la mort de sa vieille amie et colocataire, un professeur d’histoire à la retraite, Julia Garnet, décide d’aller passer six mois à Venise. Dès son arrivée, la ville l’envoûte, faisant voler en éclats la carapace de cette communiste austère et repliée sur elle-même. Son rejet de la religion perd de sa virulence, si bien qu’elle fréquente les églises, découvrant dans l’une de celles-ci des peintures représentant l’histoire du livre apocryphe de Tobie. En même temps, Julia entreprend un voyage intérieur qui va la métamorphoser. Elle tombe amoureuse, pour la première fois de sa vie, de Carlo, un marchand d’art, se lie d’amitié avec Sarah et Tobie, des jumeaux travaillant à la restauration d’une chapelle du XIVème, ainsi qu’avec Monsignore un personnage haut en couleurs qui va l’aider à comprendre des aspects de la vie dont elle n’avait jamais pris conscience. Mais ses personnages vont, tout en la dévoilant à elle-même, se révéler bien différents de ce qu’ils paraissent.
Dans ce roman intelligent, au ton volontairement léger, au style dépouillé, l’auteur fait le récit d’un parcours presque initiatique. Son attachante héroïne se débarrasse de ses préjugés au soir de sa vie, s’ouvre peu à peu aux plaisirs, aux autres, ainsi qu’à l’ineffable déroute.
Traduit de l'anglais par Sylvie Schneiter