CHANTS D'ÉCUME SUIVI DE FLEURS FANÉES
Disponible
Nombre de pages : 90
Dimensions : 150 mm x 210 mm
Poids : 130 gr
Prix : 14.00 €
Livre broché
EAN : 9782368684221
Distributeur : STELLAMARIS
Nombre de pages : 90
Dimensions : 150 mm x 210 mm
Poids : 130 gr
Prix : 14.00 €
Livre broché
EAN : 9782368684221
Distributeur : STELLAMARIS
Auteur(s) : Antoine Livic
Editeur(s) : STELLAMARIS
Date de parution : 2 septembre 2017
Genre(s) : LITTÉRATURE GÉNÉRALE
Langue(s) du texte : Français
Dans son petit traité de poésie française, Théodore de Banville soutenait que la poésie est « le seul art complet qui contienne tous les autres » et qu’elle « doit charmer l’oreille, enchanter l’esprit, représenter les sons, imiter les couleurs, rendre les objets visibles, et exciter en nous les mouvements qu’il lui plaît d’y produire ».
C’est cet exercice que tente ici l’auteur, dans ce recueil en deux cahiers.
“Chants d'écumes” se veut un hommage aux hommes de mer, notamment aux pêcheurs d’ici ou d’ailleurs et à leurs compagnes, qui a touché le fils de marin et breton d'adoption que je suis. Dans ces pages, on sent le souffle du vent, l’appel du large, on vit au rythme des marées quand « les fleurs de l’écume/ Restent sur le sable, pour qui n’a plus de rêve ». Au-delà du narratif de scènes saisissantes (à propos notamment de “Toussaint en Bretagne”, et “À ceux d'Islande” ) il nous invite à le suivre vers les îles inconnues des mémoires oubliées : « Voguer, aimer, sombrer, éternels voyages ». Éditant plusieurs auteurs sénégalais, j'ai aussi été particulièrement sensible à “Pêcheurs d'ailleurs”, qui rappelle la grande solidarité des gens de mer...
Dans le second cahier, “Fleurs fanées”, il ranime, de manière très intimiste, à la façon des poètes du 19ème siècle, dans les jardins secrets d’anciens printemps, ces fleurs que le Temps a emporté... : « celle que l'on n'a pas su retenir... » ou « qui ne vécût que le temps d'une rose »…, dans des sonnets ou des ballades d’une grande sensibilité où il exprime toute sa tendresse pour les êtres aimés.
Stellamaris
C’est cet exercice que tente ici l’auteur, dans ce recueil en deux cahiers.
“Chants d'écumes” se veut un hommage aux hommes de mer, notamment aux pêcheurs d’ici ou d’ailleurs et à leurs compagnes, qui a touché le fils de marin et breton d'adoption que je suis. Dans ces pages, on sent le souffle du vent, l’appel du large, on vit au rythme des marées quand « les fleurs de l’écume/ Restent sur le sable, pour qui n’a plus de rêve ». Au-delà du narratif de scènes saisissantes (à propos notamment de “Toussaint en Bretagne”, et “À ceux d'Islande” ) il nous invite à le suivre vers les îles inconnues des mémoires oubliées : « Voguer, aimer, sombrer, éternels voyages ». Éditant plusieurs auteurs sénégalais, j'ai aussi été particulièrement sensible à “Pêcheurs d'ailleurs”, qui rappelle la grande solidarité des gens de mer...
Dans le second cahier, “Fleurs fanées”, il ranime, de manière très intimiste, à la façon des poètes du 19ème siècle, dans les jardins secrets d’anciens printemps, ces fleurs que le Temps a emporté... : « celle que l'on n'a pas su retenir... » ou « qui ne vécût que le temps d'une rose »…, dans des sonnets ou des ballades d’une grande sensibilité où il exprime toute sa tendresse pour les êtres aimés.
Stellamaris