BESTIAIRE MINUSCULE
Disponible
Nombre de pages : 86
Dimensions : 14 mm x 21 mm
Poids : 130 gr
Prix : 13.00 €
Livre broché
EAN : 9782353281114
Distributeur : EDITINTER
Nombre de pages : 86
Dimensions : 14 mm x 21 mm
Poids : 130 gr
Prix : 13.00 €
Livre broché
EAN : 9782353281114
Distributeur : EDITINTER
Auteur(s) : TARDIF, JEAN-CLAUDE
Editeur(s) : EDITINTER
Collection : L'ÉCHAPPEE BELL
Date de parution : 5 avril 2013
Genre(s) : LITTÉRATURE GÉNÉRALE
Langue(s) du texte : Français
Il y eut le Bestiaire de poche et d’ailleurs (2003). Puis un Bestiaire improbable (2011), comme l’est l’enfance que chacun de nous, auprès des animaux, sans doute ne cesse de chercher. Et voici, avec ce Bestiaire minuscule, un nouvel échantillon de l’arche.
Bêtes à poils, à plumes, à écailles et à carapaces sont invitées une nouvelle fois à nous livrer leur numéro de voltige verbale et malicieuse. Un numéro plein de fantaisie et d’humour, qui enchaîne sur la piste – pardon : la page – les pirouettes et cabrioles langagières.
Si le pays des merveilles de Jean-Claude Tardif est peuplé de poissons, d’insectes, d’oiseaux, il l’est surtout de mots. Qui volent de proche en proche, d’homophonies en analogies diverses et en calembours-bonds, dans les branches d’un arbre souvent plus surréaliste que zoologique.
Jusqu’au miroir final – qui donne quand même à réfléchir ! – il nous promène sans autre prétention que de nous amuser… N’affirmait-il pas, dans un autre recueil : « tout est si simple / avec le cœur pour marque-page » ?
Bêtes à poils, à plumes, à écailles et à carapaces sont invitées une nouvelle fois à nous livrer leur numéro de voltige verbale et malicieuse. Un numéro plein de fantaisie et d’humour, qui enchaîne sur la piste – pardon : la page – les pirouettes et cabrioles langagières.
Si le pays des merveilles de Jean-Claude Tardif est peuplé de poissons, d’insectes, d’oiseaux, il l’est surtout de mots. Qui volent de proche en proche, d’homophonies en analogies diverses et en calembours-bonds, dans les branches d’un arbre souvent plus surréaliste que zoologique.
Jusqu’au miroir final – qui donne quand même à réfléchir ! – il nous promène sans autre prétention que de nous amuser… N’affirmait-il pas, dans un autre recueil : « tout est si simple / avec le cœur pour marque-page » ?