BILAN MÉTAPHYSIQUE APRÈS AUSCHWITZ : LES ÉCRIVAINS INCANDESCENTS
Disponible
Nombre de pages : 144
Dimensions : 142 mm x 205 mm
Poids : 296 gr
Prix : 16.00 €
Livre broché
EAN : 9782363923738
Distributeur : PRAGMA CONCEPT
Nombre de pages : 144
Dimensions : 142 mm x 205 mm
Poids : 296 gr
Prix : 16.00 €
Livre broché
EAN : 9782363923738
Distributeur : PRAGMA CONCEPT
Auteur(s) : Didier DURMARQUE
Editeur(s) : OVADIA
Collection : Carrefour de l’être
Date de parution : 30 octobre 2020
Genre(s) : SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES (3080)
Langue(s) du texte : Français
Après le trou noir d'Auschwitz, il est temps de faire un bilan de ce que l'homme peut faire à l'homme et de ce que cette analyse donne à voir, à penser, à problématiser de l'idée de Dieu.
Les écrivains incandescents sont ceux qui nous brûlent. Cette brûlure est précisément le déploiement de cette somme métaphysique après Auschwitz parce que cette synthèse bouscule complètement l'idée que l'on peut se faire de l'homme et de Dieu.
Les écrivains incandescents sont ceux qui font que nous ne sommes plus les mêmes, avant et après leur rencontre, leur lecture. Ils désintègrent les représentations confortables et stéréotypées. C'est l'humanité de l'homme qui a rendu possible la Shoah, non sa monstruosité, et Dieu n'a pas répondu. Il nous faut alors repartir de zéro, formule que Theodor W. Adorno utilisait quand il parlait d'Auschwitz, ce point zéro de la pensée.
Les écrivains incandescents sont ceux qui nous brûlent. Cette brûlure est précisément le déploiement de cette somme métaphysique après Auschwitz parce que cette synthèse bouscule complètement l'idée que l'on peut se faire de l'homme et de Dieu.
Les écrivains incandescents sont ceux qui font que nous ne sommes plus les mêmes, avant et après leur rencontre, leur lecture. Ils désintègrent les représentations confortables et stéréotypées. C'est l'humanité de l'homme qui a rendu possible la Shoah, non sa monstruosité, et Dieu n'a pas répondu. Il nous faut alors repartir de zéro, formule que Theodor W. Adorno utilisait quand il parlait d'Auschwitz, ce point zéro de la pensée.