LE MAGASIN DES SUICIDES
Nombre de pages : 162
Dimensions : 132 mm x 206 mm
Poids : 192 gr
Prix : 17.50 €
Livre broché
EAN : 9782260017080
Distributeur : INTERFORUM EDITIS
Auteur(s) : Jean Teulé
Editeur(s) : JULLIARD
Date de parution : 4 janvier 2007
Genre(s) : LITTÉRATURE GÉNÉRALE
Langue(s) du texte : Français
Réédition du Magasin des Suicides à l'occasion de la sortie en salles, le 26 septembre 2012, du film d'animation de Patrice Leconte, une adaptation très attendue du célèbre roman de Jean teulé.
IImaginez une petite entreprise où l'on vend depuis dix générations tous les ingrédients pour se suicider. Bienvenue dans le Magasin des Suicides, au célèbre slogan : "Mort ou remboursé!' Mishima Tuvache, le père, spécialisé dans les morts violentes, dirige la maison d'une main de fer. Lucrèce, la mère, adepte de l'empoisonnement, confectionne elle-même des mixtures fatales. Vincent, le fils aîné, projette la création d'un parc d'attractions sur le thème du suicide. Sa sœur, Marilyn, qui se croit moche et inutile, voudrait en finir avec l'existence, mais ses parents lui rappellent que : "Chez les Tuvache, on ne peut pas se suicider parce que sinon qui tiendrait le magasin?' Dans cette famille malheureuse et contente de l'être, le destin a frappé le jour où Mishima et Lucrèce ont testé un préservatif poreux destiné à ceux qui veulent mourir par contamination sexuelle. C'est ainsi qu'est né le petit dernier, Alan, que la nature a doté d'un horrible défaut : il adore la vie. Un enfant pareil, c'est un coup du sort. Il console les clients, sème une joyeuse pagaille avec son sens de l'humour et ses chansons. Mishima en fait une dépression et doit s'aliter quelques jours, le temps pour Alan de métamorphoser la boutique avec l'aide de sa mère, sa sœur et son frère, atteints par son optimisme. Dorénavant, le M.D.S. (Magasin des Suicides) devient une sorte de M.J.C. locale où les clients se retrouvent pour faire la fête et chercher des solutions à l'avenir du monde. Tout cela se terminera peut-être dans une sorte d'apothéose, car, finalement, le pire n'est jamais sûr!