CHEMIN DES CENTAURÉES
Disponible
Nombre de pages : 132
Dimensions : 165 mm x 210 mm
Poids : 230 gr
Prix : 16.00 €
Livre broché
EAN : 9782918220787
Distributeur : L HERBE QUI TREMBLE
Nombre de pages : 132
Dimensions : 165 mm x 210 mm
Poids : 230 gr
Prix : 16.00 €
Livre broché
EAN : 9782918220787
Distributeur : L HERBE QUI TREMBLE
Auteur(s) : Isabelle Lévesque
Editeur(s) : HERBE TREMBLE
Date de parution : 15 avril 2019
Genre(s) : LITTÉRATURE GÉNÉRALE
Langue(s) du texte : Français
Avec ce nouveau recueil, Isabelle Lévesque poursuit sa quête du lien homme-amour-nature. Chemin des centaurées est une longue promenade dans la campagne durant un long printemps, de mars jusqu’au solstice d’été. La campagne, ses herbes, ses fleurs, ses chemins, ses arbres, ses ciels, ses pluies, font naître la pensée — « Seules les pensées qu’on a en marchant valent quelque chose », écrivait Nietzsche.
C'est l’aube de la vie, Isabelle Lévesque ressent chaque matin de cette longue saison comme un renouveau, des renaissances, elle craint la nuit, l’obscurité, la sombre lumière, la poésie c’est la lumière : « Dis encore, dis plus fort, que la nuit n'est tombée qu'un instant. » Marcher sur le chemin des centaurées, c’est aller à la rencontre de nous-mêmes.
La poète invite le lecteur à fouler de tels chemins, et franchir les ponts qui comme une tapisserie, retisserons nos liens avec nous-mêmes, ce nous caché, qui est, dans « Chemin des centaurées », un, l’autre et tous.
Les remarquables peintures de Fabrice Rebeyrolle ont su capturer, sur les chemins, les centaurées des poèmes.
C'est l’aube de la vie, Isabelle Lévesque ressent chaque matin de cette longue saison comme un renouveau, des renaissances, elle craint la nuit, l’obscurité, la sombre lumière, la poésie c’est la lumière : « Dis encore, dis plus fort, que la nuit n'est tombée qu'un instant. » Marcher sur le chemin des centaurées, c’est aller à la rencontre de nous-mêmes.
La poète invite le lecteur à fouler de tels chemins, et franchir les ponts qui comme une tapisserie, retisserons nos liens avec nous-mêmes, ce nous caché, qui est, dans « Chemin des centaurées », un, l’autre et tous.
Les remarquables peintures de Fabrice Rebeyrolle ont su capturer, sur les chemins, les centaurées des poèmes.