POLITIQUE DU MONDE - SUIVI DE TROIS MERLES MATINAUX DE MLASH
Disponible
Nombre de pages : 48
Dimensions : 110 mm x 150 mm
Poids : 65 gr
Prix : 16.00 €
Livre broché
EAN : 9791093019857
Distributeur : ATELIER ART ROUGIER
Nombre de pages : 48
Dimensions : 110 mm x 150 mm
Poids : 65 gr
Prix : 16.00 €
Livre broché
EAN : 9791093019857
Distributeur : ATELIER ART ROUGIER
Auteur(s) : ALEXIS PELLETIER – MLASH
Editeur(s) : ROUGIER
Collection : PLIS URGENTS
Date de parution : 1 mai 2023
Genre(s) : SCIENCES POLITIQUES
Langue(s) du texte : Français
Alexis Pelletier, écrivain habite et travaille à Rouen,
pratique la littérature, la musicologie et l’enseignement.
En poésie et théâtre, Mlash croise ses doubles Zipwé et
Pluk - trois personnages à l’encontre du propos poétique ?
Mais la poésie, la forme et la liberté choisie de sa contrainte
ne mènent-elle pas au non-poème versifié ?
Pour une fois, j’ai le privilège d’avoir le premier et le dernier
mots. Je présente Politique du monde dont mon père, Alexis
Pelletier, m’a dit qu’il s’agit d’une partie d’un livre en cours,
répondant au titre provisoire – faut-il le croire ? – de J’ai déjà lu
ça quelque part. La phrase, d’ailleurs, traîne dans ses vers. Puis,
avec Merles Matinaux, je donne, depuis ma maison de Stantre,
trois travaux pratiques obsessionnels, comme un écho du « bel
aujourd’hui ».
Ces Merles, notablement et notoirement irresponsables,
tiennent des principes de mon père mais n’engagent en rien sa
responsabilité. On a pu les chanter dans les rues. L’ensemble,
évidemment, ne pouvait vivre qu’avec des gravures aux couleurs
de l’anarchie et de la révolution. Mai 2023, Mlash
pratique la littérature, la musicologie et l’enseignement.
En poésie et théâtre, Mlash croise ses doubles Zipwé et
Pluk - trois personnages à l’encontre du propos poétique ?
Mais la poésie, la forme et la liberté choisie de sa contrainte
ne mènent-elle pas au non-poème versifié ?
Pour une fois, j’ai le privilège d’avoir le premier et le dernier
mots. Je présente Politique du monde dont mon père, Alexis
Pelletier, m’a dit qu’il s’agit d’une partie d’un livre en cours,
répondant au titre provisoire – faut-il le croire ? – de J’ai déjà lu
ça quelque part. La phrase, d’ailleurs, traîne dans ses vers. Puis,
avec Merles Matinaux, je donne, depuis ma maison de Stantre,
trois travaux pratiques obsessionnels, comme un écho du « bel
aujourd’hui ».
Ces Merles, notablement et notoirement irresponsables,
tiennent des principes de mon père mais n’engagent en rien sa
responsabilité. On a pu les chanter dans les rues. L’ensemble,
évidemment, ne pouvait vivre qu’avec des gravures aux couleurs
de l’anarchie et de la révolution. Mai 2023, Mlash