CHARPENTIER ET LA MODISTE (LE)
Disponible
Nombre de pages : 128
Dimensions : 160 mm x 230 mm
Poids : 340 gr
Prix : 19.30 €
Livre broché
EAN : 9782842538194
Distributeur : L HARMATTAN DISTRIBUTION
Nombre de pages : 128
Dimensions : 160 mm x 230 mm
Poids : 340 gr
Prix : 19.30 €
Livre broché
EAN : 9782842538194
Distributeur : L HARMATTAN DISTRIBUTION
Auteur(s) :
Editeur(s) : SUTTON
Collection : Témoignages et Récits
Date de parution : 1 juillet 2005
Genre(s) : HISTOIRE
Langue(s) du texte : Français
L’histoire de la famille Chave commence en 1680, avec l’installation d’un greffier au
marquisat de Courtanvaux, à Bessé-sur-Braye, dans la Sarthe. Neuf générations vont suivre, composées essentiellement de laboureurs, jusqu’à Marcel Chave qui, en 1893, apprend le métier de menuisier-charpentier. Après son mariage avec Marie Breton, il s’installe à son compte et adjoint à son atelier l’activité de cafetier au café des Arts.
Mobilisé dès août 1914, le sergent Chave meurt trop vite, à la bataille de Maricourt en décembre. Marie, veuve de guerre, ne peut faire face bien longtemps, d’autant qu’il faut nourrir la petite Adèle, née en 1909. Elle part en banlieue parisienne comme cuisinière dans une famille bourgeoise et, malgré un maigre salaire, inscrit sa fille au pensionnat de Saint-Gervais-de-Vic. De retour à Bessé, Marie Chave ouvre un magasin de modes, aidée par Adèle qui a appris le métier de couturière et fabrique des chapeaux, habillant toutes les familles des alentours et œuvrant avec vigueur pour rendre son magasin attractif. En juillet 1936, Adèle épouse Marceau Henry, employé des chemins de fer, et le suit dans ses affectations en Charente-Maritime et en Normandie. Veuve en 1961, elle lui survivra vingt ans, continuant d’exercer ses talents de couturière et de modiste.
Le destin de la famille Chave n’est pas extraordinaire, mais il est sans doute celui de
nombreuses familles françaises, bouleversées par les événements de la première moitié du XXe siècle.
L’auteur, Gilles Henry, fils d’Adèle, nous conte l’histoire familiale avec passion et tendresse, illustrant son propos de nombreux documents iconographiques
authentiques et rares. Au fil des pages, c’est notre propre histoire que nous retrouvons à travers ces
personnages
marquisat de Courtanvaux, à Bessé-sur-Braye, dans la Sarthe. Neuf générations vont suivre, composées essentiellement de laboureurs, jusqu’à Marcel Chave qui, en 1893, apprend le métier de menuisier-charpentier. Après son mariage avec Marie Breton, il s’installe à son compte et adjoint à son atelier l’activité de cafetier au café des Arts.
Mobilisé dès août 1914, le sergent Chave meurt trop vite, à la bataille de Maricourt en décembre. Marie, veuve de guerre, ne peut faire face bien longtemps, d’autant qu’il faut nourrir la petite Adèle, née en 1909. Elle part en banlieue parisienne comme cuisinière dans une famille bourgeoise et, malgré un maigre salaire, inscrit sa fille au pensionnat de Saint-Gervais-de-Vic. De retour à Bessé, Marie Chave ouvre un magasin de modes, aidée par Adèle qui a appris le métier de couturière et fabrique des chapeaux, habillant toutes les familles des alentours et œuvrant avec vigueur pour rendre son magasin attractif. En juillet 1936, Adèle épouse Marceau Henry, employé des chemins de fer, et le suit dans ses affectations en Charente-Maritime et en Normandie. Veuve en 1961, elle lui survivra vingt ans, continuant d’exercer ses talents de couturière et de modiste.
Le destin de la famille Chave n’est pas extraordinaire, mais il est sans doute celui de
nombreuses familles françaises, bouleversées par les événements de la première moitié du XXe siècle.
L’auteur, Gilles Henry, fils d’Adèle, nous conte l’histoire familiale avec passion et tendresse, illustrant son propos de nombreux documents iconographiques
authentiques et rares. Au fil des pages, c’est notre propre histoire que nous retrouvons à travers ces
personnages